J'ai cru que c'était toi je t'ai pris pour moi J'ai voulu te faire plaisir, un peu de désir J'ai laissé pondre ma langue là il ne faut pas J'ai laissé traîner mes papilles aux interdits Tu semblais vouloir en gigotant ton derrière Tu gémissais en mettant des coups en arrière J'ai laissé pondre ma langue sur ton arrière J'ai pris pris le temps de retrouver le coin que je préfère Ta voix tremble quand tu me dis que c'on est trop Ta voix déraille trop quand je m'enfonce de trop La mienne voix est coupée quand je cherche le coin qu'il faut La voix nous donne la voie pour faire sortir les crocs Avec tes mains tu écartes des fesses en surcie Avec les miennes je prépares ma queue endurcie Avec tes cris tu me dis que c'est enfin ici Que tes jouissances seront infinies Quelques coups, une odeur autre Une tripe remuée, une impression de faute Je pousse, je pousse pas? Un indécis M'encourage't'elle, un soupir ou un cris. Je suis là au fond et je me sens comme cent hommes Il n'y a pas un homme qui cherche la sodome Mais elle bouge en rien, avec un mal aux reins Si seulement j'était un chien je n'aurais pas de freins Mais je le veux, elle le sait alors elle se tait Je ne suis pas dieu mais je fais ce qu'il me plait Cuni contre cul je ne suis pas très clair J'adore sans limite manger ce bout de chair.
